Brèves
Le tribunal correctionnel de Nivelles a condamné jeudi Sébastien P., un habitant de Jodoigne, à cinq ans dont quatre ans d’emprisonnement ferme, la dernière année étant assortie d’un sursis probatoire imposant le suivi d’une psychothérapie. Il était poursuivi pour deux dossiers concernant des violences envers sa compagne : plusieurs scènes de coups en 2009 et 2010, et une tentative de viol. En mars 2009, le tribunal l’avait déjà condamné pour des coups donnés à la même victime. Le Jodoignois, né en 1978, a frappé sa compagne dans les reins en août 2009, alors qu’il savait qu’elle souffrait d’un important problème médical. Le coup a provoqué une hémorragie qui a entraîné une hospitalisation de la victime. En décembre 2009, la jeune fille avait encore dû se réfugier chez sa mère, après avoir été rouée de coups et étranglée par le prévenu. Le 29 mars 2010, une nouvelle scène particulièrement violente a eu lieu alors que la jeune femme était enceinte. Sébastien P. avait alors été détenu, puis libéré sous conditions en août 2010, avec interdiction de reprendre contact avec son ex-compagne. Le 12 novembre dernier, il s’est néanmoins rendu chez elle et a tenté de la violer. Devant le tribunal, le prévenu avait nié la tentative de viol, prétendant qu’il s’agissait juste d’humilier sa victime, sans intention sexuelle. (Belga)
- Publié le 11-03-2011 à 04h31
Jodoigne
Cinq ans dont quatre d’emprisonnement ferme pour avoir frappé sa compagne
Le tribunal correctionnel de Nivelles a condamné jeudi Sébastien P., un habitant de Jodoigne, à cinq ans dont quatre ans d’emprisonnement ferme, la dernière année étant assortie d’un sursis probatoire imposant le suivi d’une psychothérapie. Il était poursuivi pour deux dossiers concernant des violences envers sa compagne : plusieurs scènes de coups en 2009 et 2010, et une tentative de viol. En mars 2009, le tribunal l’avait déjà condamné pour des coups donnés à la même victime. Le Jodoignois, né en 1978, a frappé sa compagne dans les reins en août 2009, alors qu’il savait qu’elle souffrait d’un important problème médical. Le coup a provoqué une hémorragie qui a entraîné une hospitalisation de la victime. En décembre 2009, la jeune fille avait encore dû se réfugier chez sa mère, après avoir été rouée de coups et étranglée par le prévenu. Le 29 mars 2010, une nouvelle scène particulièrement violente a eu lieu alors que la jeune femme était enceinte. Sébastien P. avait alors été détenu, puis libéré sous conditions en août 2010, avec interdiction de reprendre contact avec son ex-compagne. Le 12 novembre dernier, il s’est néanmoins rendu chez elle et a tenté de la violer. Devant le tribunal, le prévenu avait nié la tentative de viol, prétendant qu’il s’agissait juste d’humilier sa victime, sans intention sexuelle. (Belga)