L’opacité plutôt que la transparence

Le président de la fédération socialiste du Brabant wallon, André Flahaut, avait déjà exprimé tout le mal qu’il pensait de la multiplication des acteurs économiques en Brabant wallon. Alors que l’intercommunale du Brabant wallon (IBW) existait déjà, d’autres structures ont été créées : Nivelinvest, SDO, SDE Autant de structures qui finissent par se marcher sur les pieds et qui, parfois, engendrent un non-subventionnement, notamment à cause de leur opacité. Un exemple : la Sofinpro est une filiale de la Sofinest et de la Sarsi, elle-même filiale d’une SDO dépendante de Nivelinvest dont dépend également la Sofinest (anciennement SDE). Bref, un manque de transparence que les libéraux fustigent également. "En Brabant wallon, on se retrouve avec une structure d’outils économiques délirante, peste Charles Michel. L’IBW avait un défaut : représenter les citoyens via les représentants des communes." Selon le président du MR, le gouvernement wallon a investi dans des canaux différents pour ne pas passer par l’IBW, perçu comme trop libérale. "Mais mettre en concurrence autant de structures publiques, c’est malsain, voire ridicule. Au final, cela ne fait que retarder les projets."

Le président de la fédération socialiste du Brabant wallon, André Flahaut, avait déjà exprimé tout le mal qu’il pensait de la multiplication des acteurs économiques en Brabant wallon. Alors que l’intercommunale du Brabant wallon (IBW) existait déjà, d’autres structures ont été créées : Nivelinvest, SDO, SDE Autant de structures qui finissent par se marcher sur les pieds et qui, parfois, engendrent un non-subventionnement, notamment à cause de leur opacité. Un exemple : la Sofinpro est une filiale de la Sofinest et de la Sarsi, elle-même filiale d’une SDO dépendante de Nivelinvest dont dépend également la Sofinest (anciennement SDE). Bref, un manque de transparence que les libéraux fustigent également. "En Brabant wallon, on se retrouve avec une structure d’outils économiques délirante, peste Charles Michel. L’IBW avait un défaut : représenter les citoyens via les représentants des communes." Selon le président du MR, le gouvernement wallon a investi dans des canaux différents pour ne pas passer par l’IBW, perçu comme trop libérale. "Mais mettre en concurrence autant de structures publiques, c’est malsain, voire ridicule. Au final, cela ne fait que retarder les projets."

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