L’avenir des Rendanges
L’annonce officielle a été faite récemment aux parents concernés : l’école communale des Rendanges n’existera plus dès septembre prochain. Deux classes de primaires vont devoir trouver un nouveau pied-à-terre. "Certains parents ont demandé où iraient les enseignantes actuelles pour pouvoir les suivre : cela fait plaisir" , explique le bourgmestre, Jean-Paul Wahl. " Apparemment, une majorité devrait aller vers l’Ardoisière (l’ancien fondamental du Cepes, l’école provinciale, NdlR). Nous allons organiser des visites dans nos autres implantations pour permettre de faire les bons choix." Plus globalement, la commune devra s’interroger sur l’avenir de la salle des Rendanges. Le mayeur n’entend pas dissocier la question du reste de la zone - qui comprend l’ancienne caserne des pompiers, la piscine et l’accès routier qui devra être aménagé par le hall Baudouin I er .
Publié le 29-03-2011 à 04h16
L’annonce officielle a été faite récemment aux parents concernés : l’école communale des Rendanges n’existera plus dès septembre prochain. Deux classes de primaires vont devoir trouver un nouveau pied-à-terre. "Certains parents ont demandé où iraient les enseignantes actuelles pour pouvoir les suivre : cela fait plaisir" , explique le bourgmestre, Jean-Paul Wahl. " Apparemment, une majorité devrait aller vers l’Ardoisière (l’ancien fondamental du Cepes, l’école provinciale, NdlR). Nous allons organiser des visites dans nos autres implantations pour permettre de faire les bons choix." Plus globalement, la commune devra s’interroger sur l’avenir de la salle des Rendanges. Le mayeur n’entend pas dissocier la question du reste de la zone - qui comprend l’ancienne caserne des pompiers, la piscine et l’accès routier qui devra être aménagé par le hall Baudouin I er .
Jean-Paul Wahl se dit favorable à la transformation des Rendanges en lieu culturel. "Mais ce sera avant tout au prochain collège communal d’en décider. Il faudra d’abord réfléchir sur tout ce coin de Jodoigne, se faire conseiller par un bureau d’urbanisme Il n’y a pas d’urgence mais on ne laissera pas traîner le dossier."