La commune chez Toyota
La cité administrative de Braine-l’Alleud, prévue initialement sur le plateau de la gare, s’implantera finalement à l’entrée du parc de l’Alliance. Et on ne construit plus : on achète, pour 4,5 millions d’euros, le bâtiment que vend Toyota au 51 de l’avenue du Japon. Soit 9 000 m². Pour le bourgmestre Vincent Scourneau, on pourra regrouper là-bas à la fois les services du CPAS et de la commune mais aussi les services qui sont dans le bâtiment de la rue Cloquet et de l’avenue Jourez, plus le dépôt communal puisqu’il y a un espace d’atelier. Et cette semaine, la commune a obtenu la garantie de la Région que les 4 millions de subvention promis pour le projet de la dalle de la gare seront transférés. Il ne restera donc que 500 000 € à trouver pour l’achat, en sachant que le bâtiment qu’abandonnera le service de l’urbanisme vaut environ 2 millions d’euros. Et que le permis obtenu pour le plateau de la gare pourra être valorisé également.
Publié le 31-10-2012 à 04h16
La cité administrative de Braine-l’Alleud, prévue initialement sur le plateau de la gare, s’implantera finalement à l’entrée du parc de l’Alliance. Et on ne construit plus : on achète, pour 4,5 millions d’euros, le bâtiment que vend Toyota au 51 de l’avenue du Japon. Soit 9 000 m². Pour le bourgmestre Vincent Scourneau, on pourra regrouper là-bas à la fois les services du CPAS et de la commune mais aussi les services qui sont dans le bâtiment de la rue Cloquet et de l’avenue Jourez, plus le dépôt communal puisqu’il y a un espace d’atelier. Et cette semaine, la commune a obtenu la garantie de la Région que les 4 millions de subvention promis pour le projet de la dalle de la gare seront transférés. Il ne restera donc que 500 000 € à trouver pour l’achat, en sachant que le bâtiment qu’abandonnera le service de l’urbanisme vaut environ 2 millions d’euros. Et que le permis obtenu pour le plateau de la gare pourra être valorisé également.
Le bourgmestre a indiqué qu’en menant l’ancien projet de cité administrative à la gare, le but était surtout d’empêcher la SNCB de réaliser, comme elle le voulait avec l’arrivée du RER, un parking aérien de trois étages. Du côté de la minorité, on se demande d’abord si le bâtiment convient pour rassembler les services et accueillir des activités administratives. Le bourgmestre a répondu que tout correspondait. Les verts parlent d’un "décentre" administratif au vu de la localisation du bâtiment Vincent Scourneau a par ailleurs précisé que le collège n’abandonnait ni le centre-ville actuel, ni le plateau de la gare qu’il souhaite développer. Tout d’abord, l’hôtel de ville actuel sera transformé en maison des associations, ce qui devrait permettre d’alimenter la fréquentation du centre en dehors des heures de bureau. Quant au plateau de la gare, le permis technique qui a été obtenu et le travail réalisé depuis plusieurs années pour concrétiser le projet de bâtiment sur la dalle RER pourront être valorisés avec un partenaire public ou privé. Des contacts ont été pris en ce sens avec l’IBW.
