Brèves

De la stabilité du point de vue du personnel, avec uniquement l’engagement de deux stewards urbains, des enveloppes réalistes pour la culture, une attention particulière pour les infrastructures (voiries, pistes cyclables, nouveau bâtiment pour l’école de Mont-Saint-Jean, infrastructure sportive polyvalente, ), le logement, la petite enfance et la solidarité, via le CPAS, Autant de points qui figurent en bonne place dans le programme de politique générale 2013-18 que le bourgmestre de Waterloo a lu en conseil communal, lundi soir. Un texte dans lequel il s’est dit prêt à étoffer son programme par le dialogue avec les habitants, précisant qu’il n’entendait pas ignorer les 30 % d’habitants qui ont choisi de ne pas soutenir le MR. Il estime d’ailleurs que c’est un devoir, au même titre que les 70 % obtenus par sa liste lui octroient le droit "de mettre en œuvre notre programme et d’afficher nos convictions. Mais nous veillerons à écouter les remarques des trois partis d’opposition. Ils seront mieux représentés dans les cinq commissions communales que nous allons créer et ils auront aussi un accès significatif à la tribune libre du journal local." Ce qui a réjoui Etienne Fabri d’Enneilles (Mieux Vivre à Waterloo) qui a tout de même regretté de n’avoir rien entendu au sujet des aînés. Jean-Louis Verboomen (Ecolo), lui, s’est dit déçu : "Vous vous dites ouvert à de nouvelles idées, mais on ne les retrouve pas. Waterloo devrait être à la pointe, montrer l’exemple, faire preuve de plus de créativité, d’innovation, tout en restant efficace et peu coûteux. Il y a moyen de susciter un nouvel enthousiasme au sein du personnel et de la population." Bernard Catala (MVW) s’est dit inquiet que le projet de centre de vie soit laissé aux mains d’un promoteur privé. Daniel Conrath (PS) a dit attendre de voir les réalisations annoncées en matière de logements publics, mais se réjouir "qu’on s’occupe enfin du Chenois".

L. Dm.

Waterloo

Une volonté d’ouverture

De la stabilité du point de vue du personnel, avec uniquement l’engagement de deux stewards urbains, des enveloppes réalistes pour la culture, une attention particulière pour les infrastructures (voiries, pistes cyclables, nouveau bâtiment pour l’école de Mont-Saint-Jean, infrastructure sportive polyvalente, ), le logement, la petite enfance et la solidarité, via le CPAS, Autant de points qui figurent en bonne place dans le programme de politique générale 2013-18 que le bourgmestre de Waterloo a lu en conseil communal, lundi soir. Un texte dans lequel il s’est dit prêt à étoffer son programme par le dialogue avec les habitants, précisant qu’il n’entendait pas ignorer les 30 % d’habitants qui ont choisi de ne pas soutenir le MR. Il estime d’ailleurs que c’est un devoir, au même titre que les 70 % obtenus par sa liste lui octroient le droit "de mettre en œuvre notre programme et d’afficher nos convictions. Mais nous veillerons à écouter les remarques des trois partis d’opposition. Ils seront mieux représentés dans les cinq commissions communales que nous allons créer et ils auront aussi un accès significatif à la tribune libre du journal local." Ce qui a réjoui Etienne Fabri d’Enneilles (Mieux Vivre à Waterloo) qui a tout de même regretté de n’avoir rien entendu au sujet des aînés. Jean-Louis Verboomen (Ecolo), lui, s’est dit déçu : "Vous vous dites ouvert à de nouvelles idées, mais on ne les retrouve pas. Waterloo devrait être à la pointe, montrer l’exemple, faire preuve de plus de créativité, d’innovation, tout en restant efficace et peu coûteux. Il y a moyen de susciter un nouvel enthousiasme au sein du personnel et de la population." Bernard Catala (MVW) s’est dit inquiet que le projet de centre de vie soit laissé aux mains d’un promoteur privé. Daniel Conrath (PS) a dit attendre de voir les réalisations annoncées en matière de logements publics, mais se réjouir "qu’on s’occupe enfin du Chenois".

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