Brèves
Douce, Nicole ? C’est ce qu’en disent ses proches et depuis des années, ils sont plutôt contents de la côtoyer au quotidien. Mais le 27 avril 2011, elle s’est transformée en furie, au point que l’aventure lui a valu une citation devant le tribunal correctionnel de Nivelles. Ce jour-là, lorsqu’elle s’est rendue à la maison des jeunes d’Ottignies, elle a vu que ses affaires avaient été emballées et mises à l’extérieur, alors qu’elles se trouvaient jusque-là dans un local de la MJ. A plusieurs reprises, on lui aurait demandé de déménager mais elle aurait tardé. Au point que les responsables, finalement, ont dû prendre des mesures radicales. Nicole, que des témoins n’ont pas reconnue tant elle était énervée et se montrait incapable de discuter, a brandi des couteaux durant l’incident. Et elle en a pointé un sur la joue d’un homme présent, qu’elle tenait pour responsable de ce qui était arrivé. Il a fallu que plusieurs personnes interviennent pour qu’elle se calme, et la police a été appelée. L’Ottintoise a expliqué par la suite aux agents qu’elle voulait juste montrer qu’elle aussi pouvait s’énerver. Une version qu’elle n’est pas venue répéter devant le tribunal, l’affaire ayant été examinée par défaut il y a un mois. Alors qu’elle n’a pas d’antécédents judiciaires, Nicole écope d’une peine de trois mois d’emprisonnement et d’une amende de 275 €. Un sursis est accordé uniquement pour la peine de prison.
Publié le 13-02-2013 à 04h15
Ottignies-LLN
Un couteau contre la joue du responsable de la MJ
Douce, Nicole ? C’est ce qu’en disent ses proches et depuis des années, ils sont plutôt contents de la côtoyer au quotidien. Mais le 27 avril 2011, elle s’est transformée en furie, au point que l’aventure lui a valu une citation devant le tribunal correctionnel de Nivelles. Ce jour-là, lorsqu’elle s’est rendue à la maison des jeunes d’Ottignies, elle a vu que ses affaires avaient été emballées et mises à l’extérieur, alors qu’elles se trouvaient jusque-là dans un local de la MJ. A plusieurs reprises, on lui aurait demandé de déménager mais elle aurait tardé. Au point que les responsables, finalement, ont dû prendre des mesures radicales. Nicole, que des témoins n’ont pas reconnue tant elle était énervée et se montrait incapable de discuter, a brandi des couteaux durant l’incident. Et elle en a pointé un sur la joue d’un homme présent, qu’elle tenait pour responsable de ce qui était arrivé. Il a fallu que plusieurs personnes interviennent pour qu’elle se calme, et la police a été appelée. L’Ottintoise a expliqué par la suite aux agents qu’elle voulait juste montrer qu’elle aussi pouvait s’énerver. Une version qu’elle n’est pas venue répéter devant le tribunal, l’affaire ayant été examinée par défaut il y a un mois. Alors qu’elle n’a pas d’antécédents judiciaires, Nicole écope d’une peine de trois mois d’emprisonnement et d’une amende de 275 €. Un sursis est accordé uniquement pour la peine de prison.