La Princesse Mathilde chez Folon

Beaucoup d’entre vous ne se connaissent pas entre elles. C’est donc l’occasion d’élargir ses horizons, de dialoguer, afin de partager votre vision de la femme du XXIe siècle en cette veille de la journée de la Femme", a indiqué d’emblée la Princesse Mathilde lors de sa visite, jeudi matin, à la Fondation Folon, à La Hulpe.

Laurence Dumonceau

La Hulpe

Beaucoup d’entre vous ne se connaissent pas entre elles. C’est donc l’occasion d’élargir ses horizons, de dialoguer, afin de partager votre vision de la femme du XXIe siècle

en cette veille de la journée de la Femme", a indiqué d’emblée la Princesse Mathilde lors de sa visite, jeudi matin, à la Fondation Folon, à La Hulpe.

Elle désirait y rencontrer la gouverneure, Marie-José Laloy, mais aussi une série de femmes engagées dans la société civile, choisies par la gouverneure dans différents secteurs, afin d’être mises à l’honneur, en prélude à la journée de la Femme, ce vendredi.

Des femmes qui ont pu témoigner de leur parcours et des difficultés qu’elles rencontrent en tant que femmes dans leur vie professionnelle, qu’elles soient directrice de la prison de Nivelles, présidente du tribunal de première instance de Nivelles, commissaire de police, directrice de la maison d’accueil Au Logis, médecin-urgentiste, infirmière coordinatrice de l’ONE, plasticienne, musicienne, directrice de la Fondation Folon, greffière de l’administration de la Province ou préfète des études à l’athénée royal Maurice Carême de Wavre.

Pas de sportives ? Si, Catherine Stalas (présidente de l’ASBL Helios) a fait du rugby, a objecté la gouverneure au terme de la rencontre : "La diversité était donc bien au rendez-vous et malgré cette diversité de situation et d’engagement de ces femmes aux responsabilités diverses, le constat est identique : elles ont toutes connu des moments difficiles dans leur vie, liés au fait de trouver sa place pour exercer ou choisir leur profession ou pour gérer les trois journées que nous faisons. Bref, pour toutes ces femmes, le constat est identique : entre les lois et la réalité, entre les grandes tirades sur l’émancipation et les droits des femmes et les actes, il existe un long chemin à faire."

Et la gouverneure de rappeler cette question : "Comment, dans nos secteurs, entretenons-nous ou créons-nous le lien social où il n’existe pas ?"

Et d’imaginer, comme réponse, la création d’un groupe de femmes vigilantes.

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