Brèves
Le confinement imposé aux 81 pensionnaires de la résidence d’Arenberg n’est plus appliqué depuis samedi. Les autres mesures prises dans ce home il y a un peu plus d’une semaine pour éviter le développement d’une épidémie de gale sont levées, précise la présidente du CPAS de Rebecq, Sophie Keymolen (MR). Le confinement temporaire du home avait été décidé par les autorités locales après la découverte d’une dizaine de cas de gale parmi les résidents et le personnel. Cette mesure exceptionnelle en accompagnait d’autres comme le port de gants et de surblouse par le personnel, le traitement préventif des résidents ou le nettoyage complet des linges de corps et de la literie. La résidence entre à présent dans une phase d’observation et d’évaluation. Il faudra attendre une à deux semaines pour être certain que l’épidémie soit enrayée, et le personnel est donc attentif pour surveiller l’éventuelle réapparition de symptômes. Répétant que la gale, qui est un petit parasite, n’a rien à voir avec un manque d’hygiène, la présidente du CPAS a avancé une hypothèse sur l’origine de l’épidémie. Il est probable qu’un résident l’ait contracté lors d’un séjour en milieu hospitalier. (Belga)
Publié le 19-04-2013 à 04h30
Rebecq
Quarantaine levée à la résidence d’Arenberg
Le confinement imposé aux 81 pensionnaires de la résidence d’Arenberg n’est plus appliqué depuis samedi. Les autres mesures prises dans ce home il y a un peu plus d’une semaine pour éviter le développement d’une épidémie de gale sont levées, précise la présidente du CPAS de Rebecq, Sophie Keymolen (MR). Le confinement temporaire du home avait été décidé par les autorités locales après la découverte d’une dizaine de cas de gale parmi les résidents et le personnel. Cette mesure exceptionnelle en accompagnait d’autres comme le port de gants et de surblouse par le personnel, le traitement préventif des résidents ou le nettoyage complet des linges de corps et de la literie. La résidence entre à présent dans une phase d’observation et d’évaluation. Il faudra attendre une à deux semaines pour être certain que l’épidémie soit enrayée, et le personnel est donc attentif pour surveiller l’éventuelle réapparition de symptômes. Répétant que la gale, qui est un petit parasite, n’a rien à voir avec un manque d’hygiène, la présidente du CPAS a avancé une hypothèse sur l’origine de l’épidémie. Il est probable qu’un résident l’ait contracté lors d’un séjour en milieu hospitalier. (Belga)