Énumératif

2. A raison de cinq passages par semaine, le robot peut tondre deux surfaces de jeu situées l’une à côté de l’autre.

3. La société wavrienne Belrobotics propose aux communes un financement sur trois ans pour l’achat du robot dont la valeur s’élève à 11 000 €.

5. Le nombre de têtes de coupe flottantes du robot. Ces têtes sont équipées de trois lames en acier inoxydable aussi tranchantes qu’un scalpel.

10. Le robot rejette dix fois moins de CO2 dans l’atmosphère qu’une tondeuse thermique traditionnelle.

50. Une réduction de 50 % du coût de tonte est avancée par le fabriquant. Une belle économie lorsque l’on sait que l’entretien d’un seul terrain coûte 5 000 € environ.