Brèves

Les organisateurs du salon du vin bio, BioVitis, qui fêtera ses cinq ans les 1 er et 2 juin prochains à la grange du Douaire, envisagent de lancer un vignoble bio sur le territoire communal. Il y a quelques années, des étudiants, futurs ingénieurs agronomes, ont en effet mené une étude destinée à identifier l’un ou l’autre endroit sur le territoire communal qui pourrait accueillir un vignoble en tenant compte de la pente, de l’orientation et du sol, qui doit être plutôt pauvre. Ce que confirme Pierre Richard, l’un des organisateurs du salon du vin bio qui porte le projet de vignoble bio : "Pour le moment, nous sommes principalement concentrés sur l’organisation de notre salon et nous n’en sommes qu’aux prémisses du projet. Il est vrai que des étudiants ont identifié plusieurs terrains susceptibles d’accueillir un vignoble professionnel ou amateur." C’est vers cette deuxième piste qu’ils se dirigent. "Et des terrains ont été proposés du côté de Céroux ou Pinchart, mais il faudra prendre contact avec les propriétaires. Pour le reste, nous devons encore mener une étude de faisabilité, dresser un plan financier et faire des analyses de sols." Quant au cépage, il n’est pas encore défini. "En Belgique, les vignobles comptent 60 à 70 % de vin blanc mais dans ce cas-ci, nous ne sommes pas encore à cette étape." Il faudra donc encore attendre quelques années avant de pouvoir déboucher - et déguster - les premières bouteilles.

L. Dm.

Ottignies-LLN

Un vignoble bio à l’étude

Les organisateurs du salon du vin bio, BioVitis, qui fêtera ses cinq ans les 1 er et 2 juin prochains à la grange du Douaire, envisagent de lancer un vignoble bio sur le territoire communal. Il y a quelques années, des étudiants, futurs ingénieurs agronomes, ont en effet mené une étude destinée à identifier l’un ou l’autre endroit sur le territoire communal qui pourrait accueillir un vignoble en tenant compte de la pente, de l’orientation et du sol, qui doit être plutôt pauvre. Ce que confirme Pierre Richard, l’un des organisateurs du salon du vin bio qui porte le projet de vignoble bio : "Pour le moment, nous sommes principalement concentrés sur l’organisation de notre salon et nous n’en sommes qu’aux prémisses du projet. Il est vrai que des étudiants ont identifié plusieurs terrains susceptibles d’accueillir un vignoble professionnel ou amateur." C’est vers cette deuxième piste qu’ils se dirigent. "Et des terrains ont été proposés du côté de Céroux ou Pinchart, mais il faudra prendre contact avec les propriétaires. Pour le reste, nous devons encore mener une étude de faisabilité, dresser un plan financier et faire des analyses de sols." Quant au cépage, il n’est pas encore défini. "En Belgique, les vignobles comptent 60 à 70 % de vin blanc mais dans ce cas-ci, nous ne sommes pas encore à cette étape." Il faudra donc encore attendre quelques années avant de pouvoir déboucher - et déguster - les premières bouteilles.

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