Le centre national de foot, une aubaine pour la ville de Tubize

J.Br.
Belgium's players pictured during a training session of Belgian national soccer team Red Devils, Monday 28 August 2017, in Tubize. The team is preparing for World Cup qualification games against Gibraltar on Thursday, and Greece on Sunday. BELGA PHOTO BRUNO FAHY
Belgium's players pictured during a training session of Belgian national soccer team Red Devils, Monday 28 August 2017, in Tubize. The team is preparing for World Cup qualification games against Gibraltar on Thursday, and Greece on Sunday. BELGA PHOTO BRUNO FAHY ©BELGA

La Ville n’y voit que des avantages et tout le monde y trouve son compte.Tubize : pour ceux qui ne connaissent pas la ville, elle est généralement associée à de nombreux clichés négatifs mais également à son passé sidérurgique qui s’est mal terminé avec la faillite des Forges de Clabecq.

Opportunité

Redorer son blason et offrir une image positive, ce n’est pas toujours évident. Depuis de nombreuses années, les autorités communales se battent pour y arriver et elles ont été aidées lorsque le centre national de football est devenu le QG officiel des Diables Rouges. "C’est un plus indéniable. L’opportunité s’est présentée après l’Euro 2000 et nous avons sauté sur l’occasion. Le centre national de football, ce n’est que du positif pour Tubize", se réjouit Michel Januth, le bourgmestre.

Pour commencer, c’est un plus pour l’image de la ville aux yeux de Belges en général. "L’impact est positif. Quand on ouvre le journal, on voit que Tubize est mentionnée dans tous les articles. La ville est citée de manière positive. Et cela va bien au-delà des Diables. On s’est battu pour ouvrir cet hôtel Martin’s et avec l’organisation de séminaires ou des journées d’entreprise, l’image de Tubize se renforce positivement."

Les commerçants réjouis

Autre impact positif : le commerce. Même s’il est difficilement quantifiable, il est indéniable que les commerces locaux, et principalement l’Horeca, voient l’arrivée des Diables Rouges d’un très bon œil. "Quand il y a 1 200 personnes qui viennent voir l’entraînement des Diables, il est clair que certains d’entre eux vont ensuite boire un verre ou manger un bout dans les établissements de la ville. Certains sont déjà passés dans les snacks et on peut aisément imaginer l’émoi que cela a suscité", conclut, ravi, Michel Januth.

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