Maisons de repos : "Tout n’est pas mis en œuvre pour éviter que ce qu’on a vécu ne se reproduise"

Karine Lalieux, présidente du CPAS de la Ville de Bruxelles dresse un premier bilan de la crise pour anticiper une deuxième vague.

Sarra El Massaoudi
Maisons de repos : "Tout n’est pas mis en œuvre pour éviter que ce qu’on a vécu ne se reproduise"

Alors que le nombre de contaminations repart à la hausse, le CPAS de la Ville de Bruxelles tente en interne de tirer des leçons de la crise pour anticiper une éventuelle deuxième vague. Le premier constat de sa présidente Karine Lalieux (PS) est sans appel : "L’impréparation des autorités, particulièrement dans les niveaux de pouvoir supérieurs. On a d’abord pu compter que sur nous-mêmes. Mais je suis très contente de la réactivité et du professionnalisme de tout le personnel du CPAS qui a permis la mise en place du télétravail en l’espace de quinze jours seulement pour que nous puissions continuer à garantir les droits des personnes les plus précarisées."

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