Brèves
Les élèves de rhéto de l’athénée royal Marche-Bomal étaient de sortie, mardi matin. Motif de la manifestation, sous une pluie battante dans la cour de l’école ? Le sort de la préfète, Francine Fraipont. Vendredi, le conseil d’Etat a cassé la décision du ministre de l’Enseignement, Christian Dupont (PS), qui la suspendait. Certains étudiants souhaitent la voir réintégrer ses fonctions. Les calicots et banderoles déployées vont toutes en ce sens. Pour eux, l’arrêt du Conseil d’Etat la réhabilite. Il concerne cependant uniquement la procédure de suspension. Les enquêtes sont toujours en cours à la Communauté française et à l’auditorat du travail. La préfète est accusée par certains membres du personnel ouvrier de les dénigrer, de les harceler Lundi, le personnel ouvrier s’est réuni avec le syndicat CGSP. Il craignait de voir la préfète revenir. Un retour ? Pas dans l’immédiat. L’intéressée est en congé de maladie. Au cabinet du ministre Dupont, l’heure est à la recherche d’une solution acceptable pour tous.
- Publié le 13-05-2009 à 00h00
Marche
Soutien des rhétos envers la préfète
Les élèves de rhéto de l’athénée royal Marche-Bomal étaient de sortie, mardi matin. Motif de la manifestation, sous une pluie battante dans la cour de l’école ? Le sort de la préfète, Francine Fraipont. Vendredi, le conseil d’Etat a cassé la décision du ministre de l’Enseignement, Christian Dupont (PS), qui la suspendait. Certains étudiants souhaitent la voir réintégrer ses fonctions. Les calicots et banderoles déployées vont toutes en ce sens. Pour eux, l’arrêt du Conseil d’Etat la réhabilite. Il concerne cependant uniquement la procédure de suspension. Les enquêtes sont toujours en cours à la Communauté française et à l’auditorat du travail. La préfète est accusée par certains membres du personnel ouvrier de les dénigrer, de les harceler Lundi, le personnel ouvrier s’est réuni avec le syndicat CGSP. Il craignait de voir la préfète revenir. Un retour ? Pas dans l’immédiat. L’intéressée est en congé de maladie. Au cabinet du ministre Dupont, l’heure est à la recherche d’une solution acceptable pour tous.