Brèves

Sept familles de Roms composées d’une vingtaine d’adultes et de quelque septante enfants sont expulsées d’un squat qu’elles occupaient à Gand, écrivent les quotidiens De Standaard et Het Nieuwsblad. Aidées par des bénévoles, ces familles ont frappé à la porte des autorités locales gantoises la semaine dernière mais aucune solution n’a pu être trouvée. La ville de Gand se trouve une nouvelle fois confrontée aux difficultés des Roms. Récemment, un problème s’est posé pour un groupe d’une cinquantaine de personnes. "Le retour dans leur pays d’origine n’est pas une option", indique Elias Hemelsoet, un des bénévoles qui soutient les Roms. "Non seulement ce n’est pas possible en raison des discriminations qu’ils y subissent mais en plus ils vivent ici depuis dix ans déjà, leurs enfants sont scolarisés ici; ils ne parlent plus le slovaque mais le romani et le néerlandais". Les Roms et les bénévoles qui leur viennent en aide ont écrit une lettre ouverte. "Avec l’espoir qu’une solution puisse être dégagée cette semaine", a indiqué Martin Balogh. (Belga)

Gand

Septante enfants Roms bientôt sans abri

Sept familles de Roms composées d’une vingtaine d’adultes et de quelque septante enfants sont expulsées d’un squat qu’elles occupaient à Gand, écrivent les quotidiens De Standaard et Het Nieuwsblad. Aidées par des bénévoles, ces familles ont frappé à la porte des autorités locales gantoises la semaine dernière mais aucune solution n’a pu être trouvée. La ville de Gand se trouve une nouvelle fois confrontée aux difficultés des Roms. Récemment, un problème s’est posé pour un groupe d’une cinquantaine de personnes. "Le retour dans leur pays d’origine n’est pas une option", indique Elias Hemelsoet, un des bénévoles qui soutient les Roms. "Non seulement ce n’est pas possible en raison des discriminations qu’ils y subissent mais en plus ils vivent ici depuis dix ans déjà, leurs enfants sont scolarisés ici; ils ne parlent plus le slovaque mais le romani et le néerlandais". Les Roms et les bénévoles qui leur viennent en aide ont écrit une lettre ouverte. "Avec l’espoir qu’une solution puisse être dégagée cette semaine", a indiqué Martin Balogh. (Belga)

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