Brèves
La direction de l’entreprise de filtres automobiles Mann + Hummel Hydromation, à Tongres, a décidé lundi d’arrêter sa recherche d’un repreneur et de fermer, à terme, l’entreprise. Un cinquantaine de travailleurs vont ainsi perdre leur emploi, a-t-on appris mardi. La société Mann + Hummel Hydromation, en difficultés depuis un certain temps, a davantage encore souffert de la crise économique mondiale. En mars, une procédure de licenciement collectif avait même été initiée mais des perspectives plus favorables en mai avaient poussé la direction à se mettre en quête d’un repreneur. Les syndicats ont néanmoins appris lundi, lors d’un conseil d’entreprise extraordinaire, que la recherche de candidats repreneurs était abandonnée et que la fermeture de l’entreprise était dès lors inéluctable. Seules les commandes en cours et les pièces de rechange seront encore livrées aux clients. Les syndicats vont maintenant mettre à profit les trente prochains jours pour négocier un plan social. Une première réunion est d’ores et déjà prévue lundi prochain. Du côté syndical, Johan Lamers (LBC/NVK), déplore une fermeture due à "un mauvais management qui a pris de mauvaises et tardives décisions" et "n’avait aucune connaissance du secteur". (Belga)
Publié le 28-07-2010 à 04h17
Tongres
Cinquante emplois perdus chez Mann + Hummel Hydromation
La direction de l’entreprise de filtres automobiles Mann + Hummel Hydromation, à Tongres, a décidé lundi d’arrêter sa recherche d’un repreneur et de fermer, à terme, l’entreprise. Un cinquantaine de travailleurs vont ainsi perdre leur emploi, a-t-on appris mardi. La société Mann + Hummel Hydromation, en difficultés depuis un certain temps, a davantage encore souffert de la crise économique mondiale. En mars, une procédure de licenciement collectif avait même été initiée mais des perspectives plus favorables en mai avaient poussé la direction à se mettre en quête d’un repreneur. Les syndicats ont néanmoins appris lundi, lors d’un conseil d’entreprise extraordinaire, que la recherche de candidats repreneurs était abandonnée et que la fermeture de l’entreprise était dès lors inéluctable. Seules les commandes en cours et les pièces de rechange seront encore livrées aux clients. Les syndicats vont maintenant mettre à profit les trente prochains jours pour négocier un plan social. Une première réunion est d’ores et déjà prévue lundi prochain. Du côté syndical, Johan Lamers (LBC/NVK), déplore une fermeture due à "un mauvais management qui a pris de mauvaises et tardives décisions" et "n’avait aucune connaissance du secteur". (Belga)