Brèves
La chef de groupe Open VLD au conseil communal d’Anvers, Annick De Ridder, a annoncé vendredi l’abandon de son mandat pour rejoindre le privé, à un an et demi des élections communales. Cette avocate de 32 ans, députée au Parlement flamand et administratrice de la régie portuaire communale, a récemment accepté des missions de consultance privées pour le géant de la logistique portuaire Katoen Natie. Elle a jugé ces missions incompatibles avec son mandat communal. La jeune femme, qui fut co-listière de Marino Keulen lorsque ce dernier a brigué la présidence de l’Open VLD (finalement emportée par Alexander De Croo), n’a pas encore déterminé si elle figurera sur la liste des libéraux flamands aux communales de 2012, dont Anvers constituera l’un des principaux champs de bataille en Flandre." Quoi qu’il en soit, je continue à soutenir mon parti", a-t-elle assuré, ajoutant qu’elle restait députée flamande. Annick De Ridder juge que ce mandat-là n’est pas incompatible avec ses nouvelles fonctions dans le privé, "car le Parlement flamand s’occupe davantage de réglementations et des grandes lignes, et je n’y traite pas des matières concernant l’énergie". (Belga)
Publié le 23-04-2011 à 04h46
Anvers
La chef de groupe Open VLD quitte le conseil communal pour le privé
La chef de groupe Open VLD au conseil communal d’Anvers, Annick De Ridder, a annoncé vendredi l’abandon de son mandat pour rejoindre le privé, à un an et demi des élections communales. Cette avocate de 32 ans, députée au Parlement flamand et administratrice de la régie portuaire communale, a récemment accepté des missions de consultance privées pour le géant de la logistique portuaire Katoen Natie. Elle a jugé ces missions incompatibles avec son mandat communal. La jeune femme, qui fut co-listière de Marino Keulen lorsque ce dernier a brigué la présidence de l’Open VLD (finalement emportée par Alexander De Croo), n’a pas encore déterminé si elle figurera sur la liste des libéraux flamands aux communales de 2012, dont Anvers constituera l’un des principaux champs de bataille en Flandre." Quoi qu’il en soit, je continue à soutenir mon parti", a-t-elle assuré, ajoutant qu’elle restait députée flamande. Annick De Ridder juge que ce mandat-là n’est pas incompatible avec ses nouvelles fonctions dans le privé, "car le Parlement flamand s’occupe davantage de réglementations et des grandes lignes, et je n’y traite pas des matières concernant l’énergie". (Belga)