Brèves

Des militaires ont découvert vendredi matin le corps d’un officier de réserve dans une caserne de Heverlee. L’homme était décédé depuis plusieurs jours. Ingrid Baeck, porte-parole de la Défense, a confirmé l’information parue dans "De Morgen" et regrette les faits. Selon l’autopsie réclamée par le parquet de Louvain, l’homme est décédé de mort naturelle. Il s’agit d’un homme de 59 ans originaire de St-Ghislain. "Il s’agit d’un officier de réserve francophone qui avait le grade de lieutenant-colonel qui était à Heverlee pour une semaine dans le cadre du développement d’un projet. Il avait été vu mardi soir pour la dernière fois. Mercredi, un exercice de dropping était prévu pour son unité mais il n’était pas obligé d’y participer et il avait d’ailleurs confirmé qu’il ne serait pas présent car il voulait que son projet soit correctement mené", explique Mme Baeck. La porte-parole regrette que le corps n’ait pas été découvert plus tôt mais explique qu’il y a toutefois des circonstances atténuantes. "Par ses fonctions, le lieutenant-colonel disposait d’une grande indépendance. Il n’avait pas non plus informé des proches. Mais, dès jeudi, on s’est demandé, à la caserne, où il pouvait se trouver. Nous sommes partis à sa recherche vendredi matin", indique encore la porte-parole. On ne connaît pas encore les circonstances précises du décès. (Belga)

Louvain

Un cadavre découvert dans une caserne de Heverlee

Des militaires ont découvert vendredi matin le corps d’un officier de réserve dans une caserne de Heverlee. L’homme était décédé depuis plusieurs jours. Ingrid Baeck, porte-parole de la Défense, a confirmé l’information parue dans "De Morgen" et regrette les faits. Selon l’autopsie réclamée par le parquet de Louvain, l’homme est décédé de mort naturelle. Il s’agit d’un homme de 59 ans originaire de St-Ghislain. "Il s’agit d’un officier de réserve francophone qui avait le grade de lieutenant-colonel qui était à Heverlee pour une semaine dans le cadre du développement d’un projet. Il avait été vu mardi soir pour la dernière fois. Mercredi, un exercice de dropping était prévu pour son unité mais il n’était pas obligé d’y participer et il avait d’ailleurs confirmé qu’il ne serait pas présent car il voulait que son projet soit correctement mené", explique Mme Baeck. La porte-parole regrette que le corps n’ait pas été découvert plus tôt mais explique qu’il y a toutefois des circonstances atténuantes. "Par ses fonctions, le lieutenant-colonel disposait d’une grande indépendance. Il n’avait pas non plus informé des proches. Mais, dès jeudi, on s’est demandé, à la caserne, où il pouvait se trouver. Nous sommes partis à sa recherche vendredi matin", indique encore la porte-parole. On ne connaît pas encore les circonstances précises du décès. (Belga)

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