Des clients aussi venus d’ailleurs

Thierry Castagne, directeur général d’Agoria Wallonie et président du conseil d’administration de Technofutur TIC, l’a rappelé hier : "Les centres de compétences sont des pôles de formation, de veille et de sensibilisation conçus dans une approche de partenariat public-privé".

P. MK.

Thierry Castagne, directeur général d’Agoria Wallonie et président du conseil d’administration de Technofutur TIC, l’a rappelé hier : "Les centres de compétences sont des pôles de formation, de veille et de sensibilisation conçus dans une approche de partenariat public-privé".

Porté sur les fonts baptismaux en 1998, Technofutur TIC bénéficiait de parrains complémentaires, de nature à lui garantir de grands espoirs : le Forem, Agoria, les universités de Bruxelles et de Louvain, et les organisations syndicales.

Un partenariat qui a porté ses fruits, et les objectifs de départ ont été rencontrés : il s’agit toujours de proposer des cycles de formation aux entrepreneurs et à leurs travailleurs, mais en allant au-delà de la seule formation aux technologies numériques.

Technofutur forme aussi aux nouvelles techniques de travail et d’organisation, et à l’intégration de ces technologies dans la stratégie plus globale de l’entreprise, ainsi qu’à l’esprit d’innovation.

Elles s’adressent aussi aux demandeurs d’emploi et aux étudiants, étant entendu que les tarifications sont différentes et personnalisées. Si l’esprit de départ est resté identique, ses applications, elles, ont évidemment évolué. C’est la raison d’être des nouveaux modules proposés dès cette année, à haute valeur ajoutée, et qui visent à accroître encore le volume des inscriptions enregistrées à ces différentes formations : Technofutur TIC en était l’an dernier à 1 250 travailleurs pour 20 000 heures de formation, et ambitionne, pour 2013, 1 750 inscriptions pour 40 000 heures, un objectif dont tout indique dès à présent qu’il n’est pas exagérément optimiste.

Les chiffres en témoignent : en 2011, Technofutur TIC avait 535 entreprises clientes, des secteurs privé, public, et du non-marchand. La diversité géographique de ceux qui s’inscrivent à ces formations en témoigne. C’est peu dire qu’aujourd’hui, Technofutur bénéficie d’une réputation qui dépasse les frontières carolorégiennes : les inscriptions proviennent d’au-delà, notamment du Brabant wallon et de la région de Bruxelles.

Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...