Le sud de Charleroi n’est pas près d’être désengorgé

Le ministre Henry (Écolo) s’engage à chercher des alternatives au projet de "trident light". L’engorgement routier du sud de la région de Charleroi (N5) empoisonne la vie des gouvernements wallons successifs depuis qu’ils existent. On peut se demander si ce sera encore le cas sous cette législature. Après avoir annoncé dans sa déclaration de politique régionale (DPR) qu’il n’y aura pas, pendant cinq ans du moins, de construction de nouvelles infrastructures autoroutières ou routières, la coalition PS-MR-Écolo va-t-elle tenir parole ?

Le sud de Charleroi n’est pas près d’être désengorgé
©BELGA

Le ministre Henry (Écolo) s’engage à chercher des alternatives au projet de "trident light".L’engorgement routier du sud de la région de Charleroi (N5) empoisonne la vie des gouvernements wallons successifs depuis qu’ils existent. On peut se demander si ce sera encore le cas sous cette législature. Après avoir annoncé dans sa déclaration de politique régionale (DPR) qu’il n’y aura pas, pendant cinq ans du moins, de construction de nouvelles infrastructures autoroutières ou routières, la coalition PS-MR-Écolo va-t-elle tenir parole ? En effet, sous la précédente législature, c’est un projet de trident light - qui succédait lui-même à un projet de trident autoroutier - traversant le territoire des communes de Walcourt, Gerpinnes, Ham-sur-Heure/Nalinnes, Châtelet et Charleroi, qui a fait l’objet de polémiques. Certains considérant qu’il est indispensable de désengorger le sud de Charleroi en construisant ces nouvelles infrastructures routières, d’autres ne souhaitant pas ces grands travaux à l’impact important pour certains quartiers des communes concernées.

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