Les bateaux qui font plouf

La place nous a manqué pour en parler ces derniers jours, mais c’en est déjà fini de la location à Liège des petits bateaux électriques qui permettaient, depuis un peu plus d’un mois, de naviguer sans permis sur la Meuse (LLB-Gazette, 3/5). Motif : la police de la navigation a constaté, avec une célérité toute relative, que les courants du fleuve sont trop forts, qu’il passe trop de péniches et de barges et qu’il y a une écluse à l’île Monsin. Ces inconvénients pourraient être contournés en déménageant l’activité à Visé, ce dont le bourgmestre Marcel Neven se réjouit déjà. Mais comme un bonheur ne vient jamais seul, le SPW Voies navigables réclamerait, selon la "DH-Liège" de jeudi, pas moins de 5500 euros à la coopérative gérante de l’activité comme frais de quai pour sa péniche ! Voilà comment, à Liège, on coule les emplois.

La place nous a manqué pour en parler ces derniers jours, mais c’en est déjà fini de la location à Liège des petits bateaux électriques qui permettaient, depuis un peu plus d’un mois, de naviguer sans permis sur la Meuse (LLB-Gazette, 3/5). Motif : la police de la navigation a constaté, avec une célérité toute relative, que les courants du fleuve sont trop forts, qu’il passe trop de péniches et de barges et qu’il y a une écluse à l’île Monsin. Ces inconvénients pourraient être contournés en déménageant l’activité à Visé, ce dont le bourgmestre Marcel Neven se réjouit déjà. Mais comme un bonheur ne vient jamais seul, le SPW Voies navigables réclamerait, selon la "DH-Liège" de jeudi, pas moins de 5500 euros à la coopérative gérante de l’activité comme frais de quai pour sa péniche ! Voilà comment, à Liège, on coule les emplois.

P.V.

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