Namur: à ne pas rater ce samedi soir aux Fêtes de Wallonie
Rock ou chanson française ? Difficile de faire son choix entre les grandes places. Voici nos bons plans parmi les concerts de samedi soir sur les grandes scènes.
Publié le 19-09-2014 à 17h27 - Mis à jour le 20-09-2014 à 13h58
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Antoine Chance (21 h, Saint-Aubain) : depuis quelques mois, c’est la révélation de la chanson française belge. Antoine Chance alias le fils du papa du "Chat", Philippe Geluck, fait impression avec son répertoire sympathique et sa présence scénique. Pourtant, il a failli délaisser le domaine artistique pour "ne pas faire comme papa". Heureusement, il a quitté le commerce et son projet de bar pour revenir sur scène.
Vismets (21 , Grognon). Si vous préférez le rock à la chanson française, ne loupez pas Vismets. Le groupe bruxellois est devenu incontournable sur la scène belge. La preuve : il n’a pas eu de mal à trouver le financement pour son deuxième album auprès des internautes.
Alaska Alaska (21 h, place d’Armes). Les Namurois de l’étape à découvrir sur scène. Jeunes et néanmoins talentueux rockeurs, ils se sont déjà produits à la Maison de la Culture et au Verdur Rock tout récemment. Ils sont sans aucun doute promis à un bel avenir.
Michaël Gregorio (22 h 30, Saint Aubain) : qui a dit qu’il s’agit d’un spectacle d’imitateur ? Michaël Gregorio est un performer qui se livre à rien moins qu’un concert rock mâtiné de reprises de chansons françaises aux textes bien sentis. Il concocte même une petite surprise aux Namurois à l’occasion des Fêtes de Wallonie. Mais on ne sait lequel de ces hymnes - "Chant des Wallons", "Bia bouquet", "Petite Gayole" - il entonnera ce samedi sur scène…
Puggy (22 h 30, Grognon). C’est "The" groupe pop rock acoustique du moment. Malgré leur popularité, ils ne se sont jamais pris le chou et enchantent le public avec leurs mélodies largement reprises par la pub et le cinéma.
En chemise à jabots
Electric Chateau (23 h, place d’Armes). Ils sont belges et ont créé le "royalty rock’n’roll" , un rock classieux soutenu par des costumes de dandy. En chemise à jabots et veste en velours, ces petits Belges en imposent et donnent le ton d’un concert résolument alternatif avec des textes gentiment moqueurs qui parlent des problèmes des riches, car il n’y a pas que les pauvres qui méritent qu’on les plaigne, nom d’un petit bonhomme !