Zoom sur la santé du cyclisme italien: "Notre problème est économique, pas sportif"

Depuis cette année, l’Italie ne compte plus aucune formation au plus haut échelon du cyclisme mondial.

Quentin Finné
20150516 - CAMPITELLO MATESE, ITALY: The pack of riders pass an Italian flag during the eighth stage of the 98th edition of the Giro d'Italia cycling race, 186 km from Fiuggi to Campitello Matese, Italy, Saturday 16 May 2015. BELGA PHOTO YUZURU SUNADA
20150516 - CAMPITELLO MATESE, ITALY: The pack of riders pass an Italian flag during the eighth stage of the 98th edition of the Giro d'Italia cycling race, 186 km from Fiuggi to Campitello Matese, Italy, Saturday 16 May 2015. BELGA PHOTO YUZURU SUNADA ©BELGA

Depuis cette année, l’Italie ne compte plus aucune formation au plus haut échelon du cyclisme mondial. Dans un pays où le plus grand quotidien sportif national s’imprime chaque jour sur plus de trente pages roses, l’horizon du cyclisme italien semble s’être teinté d’une couleur bien plus sombre ces derniers mois. Pour la première fois depuis la mise sur pied du WorldTour en 2005, cette nation à l’origine de la création de l’UCI ne comptera pas d’équipe du plus haut niveau, là où flottent les bannières de treize différentes nations. Une exception dont l’écho résonne bien plus fort encore si l’on se souvient de noms aussi légendaires que Mapei, Faema ou Molteni, pour n’en citer que quelques-uns.

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