Clinton Mata assure que, contre le Standard, on n’évoquera pas une quelconque fatigue.

D’une équipe performante, on scrute en permanence tous les paramètes pour y débusquer l’une ou l’autre faille que masque, peut-être, l’accumulation des bons résultats. Jeudi soir, dans un derby en mineur et au terme de la première période du Club Bruges, très en retrait de ses récentes prestations, un embryon d’explication a affleuré : "Les Brugeois commencent, peut-être, à être émoussés."

Quatre jours auparavant, dans le sommet contre Genk, de très fringants leaders détachés du championnat n’avaient nullement prêté le flanc à pareille suspicion.

Jeudi, rassurés par leur succès étriqué contre le Cercle, les joueurs ont évoqué eux-mêmes un sujet qui, s’il n’est pas tabou, n’est pas souvent avancé comme circonstance atténuante au Club Bruges.