Mougins, entre vert et bleu azur

La Côte d’Azur constitue l’une des destinations les plus prisées des touristes belges, fussent-ils golfeurs ou pas. En une journée de voiture, le dépaysement est total entre le chic de Saint-Tropez, le charme de Saint-Paul de Vence, le luxe de Cannes ou le pittoresque du vieux Nice.

Serge Fayat
Mougins, entre vert et bleu azur
©D.R.

La Côte d’Azur constitue l’une des destinations les plus prisées des touristes belges, fussent-ils golfeurs ou pas. En une journée de voiture, le dépaysement est total entre le chic de Saint-Tropez, le charme de Saint-Paul de Vence, le luxe de Cannes ou le pittoresque du vieux Nice. Et le climat des Alpes Maritimes garantit aux passionnés de jouer toute l’année alors que dans notre pays on se réjouissait, il n’y a pas quelques jours, de pouvoir sortir les skis.

Les opportunités de swinguer sont nombreuses au détour des routes sinueuses longeant la Grande Bleue. Un passage au Royal Mougins Golf Resort ne laissera, toutefois, personne indifférent

Situé au cœur d’une forêt de pins soleils, à un drive de la célèbre Croisette, l’endroit dégage quelque chose de magique avec son nouvel hôtel 4 étoiles luxe, ouvert en mai dernier pour le Festival, son parcours 18 trous d’une qualité exceptionnelle, son Spa relaxant et son atmosphère raffinée et conviviale.

"Descendre dans ce nouveau Resort, c’est entrer dans l’un des plus beaux domaines privés du monde", nous explique Bettina Fröhlich, attachée de presse du complexe. "Le Royal Mougins associe luxe, golf, calme et volupté au cœur d’un cadre naturel de bien-être situé à dix minutes à peine de Cannes. De nombreuses stars du 7e Art ont par exemple déjà profité de nos somptueuses accommodations qui garantissent à chacun un séjour exclusif et inoubliable où le plaisir est le leitmotiv"

Répertorié "finest golf club of the world", le Royal Mougins Golf Club a été créé en 1993. Le parcours de compétition de 18 trous s’étend sur 6 004 mètres, en par 71, et est l’œuvre de l’architecte américain de renommée internationale Robert Von Hagge. Il s’étire en grande partie dans la vallée retirée du "Vallon de l’Œuf", le long d’une petite voie de chemin de fer, au sein d’un paysage reposant peuplé d’oliviers et agrémenté de huit lacs, où des restanques anciennes rappellent la Provence voisine.

Etriqué et varié, conçu pour "les joueurs qui réfléchissent", le parcours privilégiera ceux qui maîtrisent la précision plutôt que la longueur des coups.

Le trou le plus spectaculaire est sans doute le n° 2, un par 3 de 183 mètres, baptisé Saut de l’Ange, avec un green en contrebas où le risque est de se retrouver dans l’eau comme sur le fairway du 18.

Le trou le plus dur est probablement le dernier, un par 5 long de 515 mètres, qui a déjà fait bien des ravages sur les cartes de score par l’eau qui le borde sur la gauche et un green immense en pente défendu par six bunkers.

Bref, un défi excitant pour chaque golfeur qui se respecte

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