Ferrari ne veut pas paniquer

Il pleuvait sur Manama, jeudi soir. Céleste breuvage, divine pluie ! Plus rare que le pétrole dans les Emirats, l'offrande du ciel n'a cependant pas arrangé les affaires des pilotes de F1 pour leur entrée en piste en vue de ce Grand Prix de Bahreïn.

Ph.J.
Ferrari ne veut pas paniquer
©EPA

Il pleuvait sur Manama, jeudi soir. Céleste breuvage, divine pluie ! Plus rare que le pétrole dans les Emirats, l'offrande du ciel n'a cependant pas arrangé les affaires des pilotes de F1 pour leur entrée en piste en vue de ce Grand Prix de Bahreïn. Une première séance d'essais libres très largement dominée par les pilotes Ferrari, Kimi Raikkonen signant le premier chrono de référence devant son équipier Felipe Massa.

Comme voici huit jours à Sepang, les bolides rouges chaussés des gommes dures fournies par Bridgestone devançaient aisément les "flèches d'argent" de Fernando Alonso et Lewis Hamilton, tous deux équipés des pneus tendres du manufacturier unique. Les analystes l'auront compris : comme en Malaisie, les Ferrari dominent d'emblée en gommes dures, ce qui devrait leur donner l'avantage. Malheureusement pour elles, ce ne fut pas le cas. Alors, on attendra la fin de ce Grand Prix pour se prononcer définitivement sur les bons choix techniques de chacun...

Glissades, sorties de pistes, tout droits, têtes à queues : le dépoussiérage du circuit de Sakhir ne s'est pas fait sans mal, hier matin. Comme ailleurs, ce vendredi en F1 fut donc très... queue de poisson... et tête-à-queue.

(avec AFP)

© La Libre Belgique 2007

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