L'autre regard: du dopage technologique pour faire échec à la reine et au roi
Un autre regard signé Miguel Tasso.
/s3.amazonaws.com/arc-authors/ipmgroup/6cdf330f-6a65-4786-892d-f91e9547bc3a.png)
Miguel TassoChroniqueur
Publié le 12-10-2022 à 16h44
/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/6V7G3NJJ6NDC7L3JK5OALS6E2Q.jpg)
Décidément, la tricherie se niche partout. C’est au tour du monde des échecs, d’apparence si feutré et élitiste, de se retrouver depuis quelques jours sous les feux d’un scandale. Pour rappel, le Norvégien Magnus Carlsen, n°1 mondial de la spécialité, accuse à mots couverts le jeune prodige américain Hans Niemann de recourir à des aides extérieures pour battre ses adversaires. Et ça fait évidemment mauvais genre dans le cercle fermé des Grands Maîtres. Bon, à ce stade, rien n’est prouvé mais, avec l’essor du jeu en ligne, l’hypothèse d’un dopage technologique, avec des objets vibrants cachés sous les vêtements d’un joueur, n’a rien d’impossible. Une rumeur a même évoqué, dans le cas de Niemann, la présence d’un plug anal informatisé qui lui enverrait...
Cet article est réservé aux abonnés
Profitez de notre offre du moment et accédez à tous nos articles en illimité
Déjà abonné ?Connectez-vous