La Belgique en favorite

Belgique - Ukraine débutera vendredi avec un retour dans le Groupe Mondial en point de mire. L’entraîneur national, Reginald Willems, ne cache pas que la brique pilée a, entre autres, été choisie car c’est la surface convenant le moins bien aux Ukrainiens. S’ils se donnent 50 % de chances, ceux-ci dénonçaient hier une surface "dangereuse".

Manu Salvé
La Belgique en favorite
©BELGA

Belgique - Ukraine débutera vendredi avec un retour dans le Groupe Mondial en point de mire. L’entraîneur national, Reginald Willems, ne cache pas que la brique pilée a, entre autres, été choisie car c’est la surface convenant le moins bien aux Ukrainiens. S’ils se donnent 50 % de chances, ceux-ci dénonçaient hier une surface "dangereuse".

Willems dédramatisait avant de mettre en garde : "Difficile de réaliser des miracles en une semaine Les responsables font le "max" . Nous partons un peu favoris, il ne faut pas avoir peur de le dire. Mais attention au contexte de la Coupe Davis : ne sous-estimons pas l’adversaire ! Si les noms restent, ce n’est plus du tout l’équipe que nous avons battue en 2006 "

Le patron de la sélection est satisfait de son matériel humain : "Nos gars ont connu des saisons différentes, mais ils sont tous en parfaite forme physique." Confirmation de Malisse : "La confiance est présente et je me sens bien depuis quelques mois."

Même son de cloche chez Darcis : "Je viens de gagner trois matches de suite. Cela faisait longtemps, qui plus est sur terre battue. Je ne pouvais connaître meilleure préparation." Olivier Rochus était au diapason : "J’ai remporté pas mal de parties ces derniers mois. Quoi de mieux pour le moral ?" Restait son frangin Christophe, souvent en froid avec la Coupe Davis : "J’étais trop individualiste et on va dire que les matches en cinq sets ne me conviennent pas ! J’ai très mal joué ces derniers mois, mais je progresse et je suis un peu mieux sur terre battue."

Il fut repris de volée par ses entraîneur et frère, qui soulignèrent ses qualités et l’évolution positive de sa mentalité. Conclusion de Christophe : "C’est sûrement ma dernière participation. Après, ça dépend des circonstances puisque je ne serais sans doute pas là si Vliegen ne s’était pas "pété" le dos "

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