Plus de 500 parents interpellent la ministre Schyns: “On nous considère peu parce que nous parlons mal le français ou parce que nous portons le voile”
Ils se sentent exclus du monde scolaire, et entendent s'y faire un place.
BdO
Publié le 20-03-2019 à 16h31 - Mis à jour le 21-03-2019 à 08h52
En fonction des familles qui l’abordent, une même école ne présente pas toujours le même visage. Lieu d’émancipation pour certaines de ces familles, très à l’aise avec le monde scolaire, l’école aura par contre pour les autres l’allure sévère d’une machinerie institutionnelle incompréhensible. Les parents des “milieux populaires” (comme ils se qualifient eux-mêmes) font...
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