John Waters : “J’ai envoyé mon roman à une sensitivity reader, elle a dû faire une overdose”

À 77 ans, le “pape du trash” et réalisateur culte du cinéma underground est de retour avec son premier roman. “La Libre” l’a rencontré à Paris. Pour évoquer l’écriture, la subversion, Hollywood, la mort ou la censure.

A 77 ans, John Waters, surnommé le "pape du trash" par William S. Burroughs n'a toujours pas viré papy.
A 77 ans, John Waters, surnommé le "pape du trash" par William S. Burroughs, n'a toujours pas viré papy. ©Greg Gorman

Le jour où l’on rencontre le dandy à la moustache tracée au crayon la plus fameuse du monde, sa journée marathon est déjà bien entamée. Assis sur une banquette d’un hôtel de Saint-Germain-des-Prés aussi chic que lui, le réalisateur culte de Pink Flamingos, Polyester, Cry-Baby ou encore Hairspray enchaîne les interviews avec une aisance et une clairvoyance impressionnantes.

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