Protéger l’état de droit dans l’Union européenne, “une responsabilité" que des jeunes prennent à cœur

Quatre jeunes étudiantes de l'Université de Groningue ont créé l'Académie de notre état de droit, qui s'est déroulée à Bruxelles le 16 et 17 mars. Une initiative née du hasard mais surtout de leur volonté d'agir pour protéger les acquis démocratiques dans l'Union européenne. Rencontre.

Elene, Anna, Zuzanna et Tekla se prennent en selfie lors du premier jour de l'Académie de notre état de droit, à Bruxelles, le 16 mars.
Elene, Anna, Zuzanna et Tekla se prennent en selfie lors du premier jour de l'Académie de notre état de droit, à Bruxelles, le 16 mars. ©M.U.

Les ministres des Affaires européennes, réunis à Bruxelles ce mardi, se sont penchés, comme à chaque fois depuis deux ans, sur le respect de l’état de droit dans cinq pays de l’Union. La Slovaquie et la Finlande étaient les deux derniers des vingt-sept États membres analysés à tour de rôle depuis 2020. Les ministres ont ensuite évalué la Belgique, la Bulgarie et la République tchèque, qui avaient été les premières à passer sous la loupe. C’est donc reparti pour un tour d’horizon de l’UE. Mais les menaces à l'état de droit persistent, en particulier en Pologne et en Hongrie. La Libre a rencontré des jeunes qui exigent de mieux protéger nos démocraties.

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