Les professeurs d’université désespérés par le niveau d’orthographe des étudiants : “Même des mots courants ne sont plus compris”

Étudier à l’université ou en haute école n’est pas gage de bonne orthographe ni de maîtrise de la langue française. Ils sont nombreux, parmi les professeurs du supérieur, à s’inquiéter du niveau de français de leurs étudiants, y compris dans les facultés qui forment les futurs enseignants.

 Caroline Nieberding dénonçait des remarques sexistes, un harcèlement moral et sexuel, une forme d’exclusion et le dénigrement par ses collègues.
©EdA

Étudier à l’université ou en haute école n’est pas gage de bonne orthographe ni de maîtrise de la langue française. Ils sont nombreux, parmi les professeurs du supérieur, à s’inquiéter du niveau de français de leurs étudiants, y compris dans les facultés qui forment les futurs enseignants.

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