Gand et Bruges cherchent à limiter les effets néfastes du tourisme de masse

Anvers propose d’accueillir les touristes dont Gand et Bruges ne veulent pas : “Ils sont les bienvenus.”

Manifestation contre les croisières à Venise
Bruges et Gand veulent réduire les effets néfastes du tourisme de masse © Antje Christ

Trop de touristes tue le tourisme. Selon De Standaard, Bruges et Gand cherchent des moyens de lutter contre les effets néfastes du tourisme de masse. Bruges fut la première ville flamande en 2019 à limiter l’amarrage de paquebots dans le port de Zeebruges afin de limiter le flot de touristes dans la 'Venise du Nord”. Le nouveau règlement stipulait que deux navires maximum pouvaient jeter l’ancre en même temps. “Cela fait quand même encore deux fois 8 000 visiteurs qui, aussitôt débarqués, se rendent au centre-ville rien que pour quelques heures”, affirme Mieke Hoste (Vooruit), l’échevine du Tourisme à Bruges. L’élue pense qu’il faudrait étaler dans le temps les périodes de rush et les périodes calmes. “Tout le monde serait gagnant”, dit-elle.

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