L'offre de rachat de Venyo invalidée, les simulateurs de vol carolos bientôt à la casse ?

La société Venyo, déclarée en faillite, ne sera pas sauvée. La Wallonie a-t-elle joué son rôle ?

Venyo a conçu des simulateurs moins chers et moins complexes à installer qui permettaient de former de futurs pilotes sur Boeing 737 NG, avec des projets de développement pour Boeing Max et Airbus.
Venyo a conçu des simulateurs moins chers et moins complexes à installer qui permettaient de former de futurs pilotes sur Boeing 737 NG, avec des projets de développement pour Boeing Max et Airbus. ©BELGA

Ils étaient nombreux, à l'époque, les mandataires politiques qui se pressaient chez Venyo (Charleroi), pour tester le simulateur de vol unique en son genre. Parce que la visite valait de bonnes photos mais surtout parce que ce genre d’entreprise innovante, active dans un secteur de niche, c’est toujours une bonne publicité pour le redressement wallon. D’ailleurs, via un mécanisme d’aides remboursables, la Région avait permis à Venyo d’avancer sur ce projet. Des simulateurs moins chers et moins complexes à installer qui permettaient de former de futurs pilotes sur Boeing 737 NG, avec des projets de développement pour Boeing Max et Airbus. Venyo avait aussi des touches en Chine avec la société Comac, qui veut devenir l’un des géants de l’aviation au niveau mondial.

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